Le Maréchal Petain
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Le Maréchal Petain
En août 1944 l’ambassadeur Allemand en France Otto Abetz presse le Maréchal Pétain de quitter Vichy pour la ville de Belfort.Pétain refuse : « J’élève une protestation solennelle contre cet acte qui me placerait dans l’impossibilité d’exercer mes prérogatives de chef de l’Etat français »
Les Allemands lui adresse des lettres polies puis menaçantes.Rien ni fera il faudra envoyerla Wehrmacht pour l’arrêter .Les soldats fracturent l’entrée de l’hôtel du parc à Vichy
Le Général Von Neubronn est en tête pistolet au point arrête le Maréchal assis sur son lit à demi vêtu lève un œil est dit : »Ah c’est vous » Il remet une lettre de protestation adressée à Hitler et suis ses ravisseurs
Le 20 août 1944, le Maréchal est emmené par les Allemands, contre son gré mais sans résistance de sa part, à Belfort puis le 8 septembre sera transféré à Sigmaringen en Allemagne, où s’étaient réfugiés les dignitaires de son régime. Plutôt que de démissionner, il entretint, dans une lettre aux Français la fiction selon laquelle « je suis et demeure moralement votre chef. »À Sigmaringen, Pétain refuse d’exercer encore ses fonctions et se cloître dans ses appartements, tout en préparant sa défense.Le 23 avril 1945, après avoir obtenu des Allemands qu'ils le conduisent en Suisse, et des suisses qu'ils l'acceptent sur leur térritoire, Pétain demande à regagner la France. Par l'intermédiaire de l'ambassadeur Karl Burckhardt, le Gouvernement suisse transmet cette requête au général de Gaulle. Le gouvernement provisoire de la République décide de ne pas s'y opposer. Le 24 avril, les autorités suisses lui font rejoindre la frontière puis il est remis aux autorités françaises le 26 avril. Le général Kœnig est chargé de le prendre en charge à Vallorbe. Le Maréchal est ensuite interné au fort de Montrouge.
Les Allemands lui adresse des lettres polies puis menaçantes.Rien ni fera il faudra envoyerla Wehrmacht pour l’arrêter .Les soldats fracturent l’entrée de l’hôtel du parc à Vichy
Le Général Von Neubronn est en tête pistolet au point arrête le Maréchal assis sur son lit à demi vêtu lève un œil est dit : »Ah c’est vous » Il remet une lettre de protestation adressée à Hitler et suis ses ravisseurs
Le 20 août 1944, le Maréchal est emmené par les Allemands, contre son gré mais sans résistance de sa part, à Belfort puis le 8 septembre sera transféré à Sigmaringen en Allemagne, où s’étaient réfugiés les dignitaires de son régime. Plutôt que de démissionner, il entretint, dans une lettre aux Français la fiction selon laquelle « je suis et demeure moralement votre chef. »À Sigmaringen, Pétain refuse d’exercer encore ses fonctions et se cloître dans ses appartements, tout en préparant sa défense.Le 23 avril 1945, après avoir obtenu des Allemands qu'ils le conduisent en Suisse, et des suisses qu'ils l'acceptent sur leur térritoire, Pétain demande à regagner la France. Par l'intermédiaire de l'ambassadeur Karl Burckhardt, le Gouvernement suisse transmet cette requête au général de Gaulle. Le gouvernement provisoire de la République décide de ne pas s'y opposer. Le 24 avril, les autorités suisses lui font rejoindre la frontière puis il est remis aux autorités françaises le 26 avril. Le général Kœnig est chargé de le prendre en charge à Vallorbe. Le Maréchal est ensuite interné au fort de Montrouge.
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