La résistance en quiquonce
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La résistance en quiquonce
La manoeuvre dont parle isaetdavid dans son post sur la débâcle et organisée par le général Weygand, était l'ultime tentative pour arrêter la progression des blindés allemands!
Cette manoeuvre, des points de résistances ou points d'appui disséminés en profondeur, Weygand la nommée, résistance en quiquonce!
Les centres de résistance, équipés d'un canon anti-chars et d'unités d'infanterie en protection, devaient s'étaller en profondeur et être réparti un peu partout, dans des fermes, des bosquets, des surplombs...
Les officiers français, plus habitués à la défense linéaire, ne crurent pas à cette défense et négligèrent le centre, alors qu'il fallait l'armer plus que les ailes.
Débordés, les centres de résistance auraient pu se replier en bon ordre sur les positions situées en arrière, et ainsi de suite, retardant sensiblement l'avancée allemande.
Cette manoeuvre sera reprise en juillet 1944 par le major von Luck lors de l'opération Goodwood, pour contrer les blindés britanniques, et portera le nom de "défense en hérisson"!
Amicalement
Cette manoeuvre, des points de résistances ou points d'appui disséminés en profondeur, Weygand la nommée, résistance en quiquonce!
Les centres de résistance, équipés d'un canon anti-chars et d'unités d'infanterie en protection, devaient s'étaller en profondeur et être réparti un peu partout, dans des fermes, des bosquets, des surplombs...
Les officiers français, plus habitués à la défense linéaire, ne crurent pas à cette défense et négligèrent le centre, alors qu'il fallait l'armer plus que les ailes.
Débordés, les centres de résistance auraient pu se replier en bon ordre sur les positions situées en arrière, et ainsi de suite, retardant sensiblement l'avancée allemande.
Cette manoeuvre sera reprise en juillet 1944 par le major von Luck lors de l'opération Goodwood, pour contrer les blindés britanniques, et portera le nom de "défense en hérisson"!
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Tobrouk- Admin
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Re: La résistance en quiquonce
Malheureusement, les militaires français se sont adaptés trop tard à la guerre nouvelle, les combats sur la Somme et sur l'Aisne, on été eprouvant pour les allemands.
Contrairement à 1914, où Joffre avait réussi à préserver ces unités malgré les défaites. En 1940, le groupes d'armée 1 a completement été detruits, sur la Somme, l'armée française était voué à la défaites.
Contrairement à 1914, où Joffre avait réussi à préserver ces unités malgré les défaites. En 1940, le groupes d'armée 1 a completement été detruits, sur la Somme, l'armée française était voué à la défaites.
Guilhem- Invité
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