Les appareils de reconnaissance et d'observation
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Les appareils de reconnaissance et d'observation
Rappel du premier message :
LEVASSEUR PL10-PL101
Le prototype du Levasseur PL 10 effectua son vol initial au cours du printemps de 1929. L'appareil de la firme française se présentait comme un avion de reconnaissance biplan triplace aux ailes repliables et au fuselage de section triangulaire. La production du PL10 atteignit une trentaine de machines, dont les premières entrèrent en service avec l'escadrille embarquée 7S1 dont une partie servait à bord du porte-avions BEARN. Outre le pilote, l'équipage était composé d'un observateur qui se trouvait derrière le pilote et qui était chargé d'effectuer les opérations de bombardement, puis d'un mitrailleur placé à l'arrière.
En mars 1933, le PL 101 quitta le sol pour la première fois. Un trentaine d'appareils sortirent des chaînes d'assemblages afin de prendre la relève du PL 10 sur le porte-avions BEARN au cours de 1935. Il se différenciait du PL 10 par un train d'atterrissage à large voie et par sa voilure à la flèche peu accentuée. Cet appareil donna lieu à de nombreux projets qui n'aboutirent pas, mais au début de la seconde guerre mondiale, cinq PL 10 volaient encore.
Type : avion de reconnaissance
Moteur : 1 Hispano-Suiza L2Lb de 600 ch
Performances : vitesse maximale : 200 km/h
Masse : 2 800 kg
Dimensions : envergure 14,20 m; longueur 9,57 m; surface alaire 60 m2
LEVASSEUR PL10-PL101
Le prototype du Levasseur PL 10 effectua son vol initial au cours du printemps de 1929. L'appareil de la firme française se présentait comme un avion de reconnaissance biplan triplace aux ailes repliables et au fuselage de section triangulaire. La production du PL10 atteignit une trentaine de machines, dont les premières entrèrent en service avec l'escadrille embarquée 7S1 dont une partie servait à bord du porte-avions BEARN. Outre le pilote, l'équipage était composé d'un observateur qui se trouvait derrière le pilote et qui était chargé d'effectuer les opérations de bombardement, puis d'un mitrailleur placé à l'arrière.
En mars 1933, le PL 101 quitta le sol pour la première fois. Un trentaine d'appareils sortirent des chaînes d'assemblages afin de prendre la relève du PL 10 sur le porte-avions BEARN au cours de 1935. Il se différenciait du PL 10 par un train d'atterrissage à large voie et par sa voilure à la flèche peu accentuée. Cet appareil donna lieu à de nombreux projets qui n'aboutirent pas, mais au début de la seconde guerre mondiale, cinq PL 10 volaient encore.
Type : avion de reconnaissance
Moteur : 1 Hispano-Suiza L2Lb de 600 ch
Performances : vitesse maximale : 200 km/h
Masse : 2 800 kg
Dimensions : envergure 14,20 m; longueur 9,57 m; surface alaire 60 m2
Re: Les appareils de reconnaissance et d'observation
CAUDRON C.630 SIMOUN
Conçu en vue de prendre part aux épreuves de la célèbre coupe Deutsch de la Meurthe, le Caudron C.630 Simoun présentait un certain nombre de caractéristiques avancées pour son temps. Ce monoplan à ailes basses en porte à faux disposait d'une structure en bois et d'un revêtement en contre-plaqué. Il possédait un train d'atterrissage à roulette de queue fixe doté de jambes à amortisseurs oléopneumatiques.
Le Simoun connut un grand succès dans le domaine de l'aviation civile. Ayant été acquis par la compagnie aéropostale Air Bleu, il transporta plus de 45 millions de lettres jusqu'en 1939. Par ailleurs, il fut employé dans un certain nombre de raids aériens entre 1935 et 1937. Mais les commandes les plus importantes provinrent de l'armée de l'air et de la marine françaises.
En 1935-1936, l'armée de l'air et la marine passèrent commande respectivement de 110 et de 29 exemplaires du C.635M, principale version à laquelle le Simoun allait donner lieu. Ces appareils furent employés pour des missions de liaison au bénéfice d'états-majors et d'entraînement. Après l'armistice de juin 1940, ils servirent aussi bien dans l'armée de l'air d'armistice qu'au sein des Forces Aériennes Française Libres. Les Allemands en capturèrent plusieurs dizaines en novembre 1942 et les utilisèrent à leur profit.
Type : avion de liaison et d'entraînement léger
Moteur : 1 Renault Bengali en ligne de 220 ch
Performances : vitesse maximale au niveau de la mer : 300 km/h
Rayon d'action : 1 500 km
Masse : maximale au décollage 1 380 kg;
Dimensions : envergure 10,40 m; longueur 9,10 m
Conçu en vue de prendre part aux épreuves de la célèbre coupe Deutsch de la Meurthe, le Caudron C.630 Simoun présentait un certain nombre de caractéristiques avancées pour son temps. Ce monoplan à ailes basses en porte à faux disposait d'une structure en bois et d'un revêtement en contre-plaqué. Il possédait un train d'atterrissage à roulette de queue fixe doté de jambes à amortisseurs oléopneumatiques.
Le Simoun connut un grand succès dans le domaine de l'aviation civile. Ayant été acquis par la compagnie aéropostale Air Bleu, il transporta plus de 45 millions de lettres jusqu'en 1939. Par ailleurs, il fut employé dans un certain nombre de raids aériens entre 1935 et 1937. Mais les commandes les plus importantes provinrent de l'armée de l'air et de la marine françaises.
En 1935-1936, l'armée de l'air et la marine passèrent commande respectivement de 110 et de 29 exemplaires du C.635M, principale version à laquelle le Simoun allait donner lieu. Ces appareils furent employés pour des missions de liaison au bénéfice d'états-majors et d'entraînement. Après l'armistice de juin 1940, ils servirent aussi bien dans l'armée de l'air d'armistice qu'au sein des Forces Aériennes Française Libres. Les Allemands en capturèrent plusieurs dizaines en novembre 1942 et les utilisèrent à leur profit.
Type : avion de liaison et d'entraînement léger
Moteur : 1 Renault Bengali en ligne de 220 ch
Performances : vitesse maximale au niveau de la mer : 300 km/h
Rayon d'action : 1 500 km
Masse : maximale au décollage 1 380 kg;
Dimensions : envergure 10,40 m; longueur 9,10 m
Re: Les appareils de reconnaissance et d'observation
POTEZ 56
Conçu par l'ingénieur Louis Coroller, le Potez 56, un avion detransport aux lignes élancées, effectua son vol initial, sous la forme d'un prototype, le 18 juin 1934. Ce monoplan aux ailes basses, inspirées de celles du Potez 53, une machine réalisée pour la course, disposait d'un empennage vertical monodérive et d'un empennage horizontal cantilever. Sa propulsion était assurée par deux moteurs Potez 8 Ab, et son train d'atterrissage à roulette de queue était escamotable.
Les essais menés avec le prototype montrèrent que le Potez 56 était non seulement une machine de grande qualité mais qu'il bénéficiait d'une remarquable stabilité en vol. Parmi les nombreuses versions militaires réalisées figurent le Potez 566, qui se caractérisait par une tourelle dorsale armée d'une mitrailleuse de 7,5 mm, et le Potez 568, commandé par l'armée de l'air à raison de 26 exemplaires, pour l'entraînement des pilotes.
L'aéronavale française s'intéressa elle aussi à l'appareil et demanda la réalisation du Potez 565, avion doté d'une crosse d'appontage qui effectua des essais à bord du porte-avions BEARN en 1936. La marine nationale acquit également 22 exemplaires du Potez 567 qui, livrés entre 1939 et 1940, furent utilisés pour diverses missions, notamment l'entraînement des équipages et le remorquage de cibles.
Type : avion de transport
Moteur : 2 Potez 9 Ab de 185 ch
Performances : vitesse maximale : 270 km/h
Rayon d'action : 650 km
Masse : maximale au décollage 2 980 kg;
Dimensions : envergure 16 m; longueur 4,60 m
Conçu par l'ingénieur Louis Coroller, le Potez 56, un avion detransport aux lignes élancées, effectua son vol initial, sous la forme d'un prototype, le 18 juin 1934. Ce monoplan aux ailes basses, inspirées de celles du Potez 53, une machine réalisée pour la course, disposait d'un empennage vertical monodérive et d'un empennage horizontal cantilever. Sa propulsion était assurée par deux moteurs Potez 8 Ab, et son train d'atterrissage à roulette de queue était escamotable.
Les essais menés avec le prototype montrèrent que le Potez 56 était non seulement une machine de grande qualité mais qu'il bénéficiait d'une remarquable stabilité en vol. Parmi les nombreuses versions militaires réalisées figurent le Potez 566, qui se caractérisait par une tourelle dorsale armée d'une mitrailleuse de 7,5 mm, et le Potez 568, commandé par l'armée de l'air à raison de 26 exemplaires, pour l'entraînement des pilotes.
L'aéronavale française s'intéressa elle aussi à l'appareil et demanda la réalisation du Potez 565, avion doté d'une crosse d'appontage qui effectua des essais à bord du porte-avions BEARN en 1936. La marine nationale acquit également 22 exemplaires du Potez 567 qui, livrés entre 1939 et 1940, furent utilisés pour diverses missions, notamment l'entraînement des équipages et le remorquage de cibles.
Type : avion de transport
Moteur : 2 Potez 9 Ab de 185 ch
Performances : vitesse maximale : 270 km/h
Rayon d'action : 650 km
Masse : maximale au décollage 2 980 kg;
Dimensions : envergure 16 m; longueur 4,60 m
Re: Les appareils de reconnaissance et d'observation
Sud-Est SE.161 LANGUEDOC
En 1936, la société des avions Marcel Bloch fut victime des nationalisations et devint une partie de la Société de Constructions Aéronautiques du Sud-Est. La même équipe qui avait conçu l'appareil plus grand dont le prototype MB.161.01 vola en septembre 1939. Air France commanda cet appareil mais la victoire allemande intervint entre temps et le constructeur travailla au ralenti afin de livrer le plus tard possible les vingt exemplaires commandés par l'Allemagne. L'appareil définitif, redésigné SE.161 Languedoc ne vola qu'en septembre 1945 et entra en service sous les couleurs d'Air France en mai 1946.
Type : avion de transport
Moteur : 4 Pratt & Whitney R-1830-92 en étoile de 2 200 ch chacun
Performances : vitesse maximale au niveau de la mer : 440 km/h
Rayon d'action : 3 200 km
Masse : à vide 12 650 kg; maximale au décollage 20 577 kg;
Dimensions : envergure 29,39 m; longueur 24,26 m; hauteur 5,13 m; surface alaire 111,18 m2
En 1936, la société des avions Marcel Bloch fut victime des nationalisations et devint une partie de la Société de Constructions Aéronautiques du Sud-Est. La même équipe qui avait conçu l'appareil plus grand dont le prototype MB.161.01 vola en septembre 1939. Air France commanda cet appareil mais la victoire allemande intervint entre temps et le constructeur travailla au ralenti afin de livrer le plus tard possible les vingt exemplaires commandés par l'Allemagne. L'appareil définitif, redésigné SE.161 Languedoc ne vola qu'en septembre 1945 et entra en service sous les couleurs d'Air France en mai 1946.
Type : avion de transport
Moteur : 4 Pratt & Whitney R-1830-92 en étoile de 2 200 ch chacun
Performances : vitesse maximale au niveau de la mer : 440 km/h
Rayon d'action : 3 200 km
Masse : à vide 12 650 kg; maximale au décollage 20 577 kg;
Dimensions : envergure 29,39 m; longueur 24,26 m; hauteur 5,13 m; surface alaire 111,18 m2
Avions
Sans nier l'intérêt certain de ces posts, il n'y a rien à répondre, seulement constater or le le but d'un forum est le débat entre membres et là, il ne peut y en avoir!
De plus, j'ai peur que ce soit un copier/coler des posts d'ATF 40, le site de SOMUA.
Dommage!
amicalement
De plus, j'ai peur que ce soit un copier/coler des posts d'ATF 40, le site de SOMUA.
Dommage!
amicalement
Tobrouk- Admin
- Nombre de messages : 2753
Age : 74
Situation géo. : Evreux
Loisirs : Math, histoire militaire, science, astronomie et météo!
Date d'inscription : 10/01/2006
Re: Les appareils de reconnaissance et d'observation
Bonsoir,
je ne me permettrais pas de vous faire la même remarque sur la plupart de vos posts, et en ce qui concerne le copier coller vous devriez mieux y regarder (étant donné que je suis la même personne sur les deux sites) car la majorité de mes posts sur ce forum ne se trouvent pas sur ATF40.
P.S. : je suis désolé d'avoir pollué le forum avec mes posts, et je m'en excuse auprès des membres, ceux ci seront supprimés dès ce week-end et les fiches en préparation ne seront pas mises en ligne.
Respectant la règlementation du forum j'essayerai suivant mes connaissances de ne répondre qu'aux rares questions.
Cordialement
je ne me permettrais pas de vous faire la même remarque sur la plupart de vos posts, et en ce qui concerne le copier coller vous devriez mieux y regarder (étant donné que je suis la même personne sur les deux sites) car la majorité de mes posts sur ce forum ne se trouvent pas sur ATF40.
P.S. : je suis désolé d'avoir pollué le forum avec mes posts, et je m'en excuse auprès des membres, ceux ci seront supprimés dès ce week-end et les fiches en préparation ne seront pas mises en ligne.
Respectant la règlementation du forum j'essayerai suivant mes connaissances de ne répondre qu'aux rares questions.
Cordialement
Re: Les appareils de reconnaissance et d'observation
Perdón por escribir en Español.
La falsa foto del ANF 117 corresponde a un Gloster Guan británico.
Saludos
La falsa foto del ANF 117 corresponde a un Gloster Guan británico.
Saludos
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