Narvick! P'tit Sapeur témoigne
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Narvick! P'tit Sapeur témoigne
Texte de mon ami P'tit Sapeur, ancien légionnaire!
"Le débarquement.
12 mai 40.
Ce matin la brume est basse c’est parfait pour masquer l’escadre anglaise qui s’avance vers la Norvège plus exactement devant Bjervick il est minuit quant elle y arrive.
En protection des quatre chalands blindés ou ce trouve 120 Légionnaires du nouveau régiment la 13e demi brigade de la Légion étrangère, 300 autres Légionnaires forme la deuxième vagues ils viennent d’embarquer dans les chaloupes. Maintenant a cette heure de la nuit on ce croirait en plein jour. La mer est houleuse et la neige tombe en rafale il fait très froid. L’amiral Cork and Orrery qui commande l’escadre anglaise propose au général Bétthouart qui lui commande les troupes française qui vont au sol de commander les tirs de l’artillerie naval qui va appuyer le débarquement. A ce moment on pourrait presque ressentir la joie et la fierté de cet homme surpris de cet demande tous les navires attente cet ordre « Fire » .
Le général prend l’arme et tire vers le ciel éclairci, la fusée rouge n’est pas encore éteinte que les canons d’un commun accord ouvre le feu, Norvège nous voilà semble t’il annoncer !
La ville de Bjervik est rapidement en flamme l’église vole en éclat elle abritait un dépôt de munitions, pendant ce temps la le second appui feu les chars abordent la plage ils sont un total de trois, le premier qui est arriver car les deux autres ont un léger retard est déjà dans la ville avançant lentement parmi les maisons en feu, par rapport a l’ attente glacial sur les péniches ici c’est l’enfer. Un problèmes vient a ce poser aux chaloupes de débarquement pris sous un feu intense d’armes automatique ce trouve être déroutés, elles doivent trouver un autre lieu pour débarquer, heureusement une crique discrète est trouvée ce situant a environs cinq cent mètres de l’endroit initial prévu ! En quelques minutes a peine débarqué l’endroit est sécurisé les deux mitrailleuses allemandes sont neutralisée et capturées indènes, la deuxièmes vagues débarquent ils peuvent a présent progressés dans la neige assez hautes ce trouvant sur les pentes en moins de deux heures une tête de pont est établie par la prise du village. Béthouard a tout suivit du croiseur britannique, il peut aussi cette fois être fier de ses Légionnaires du bataillon Boyer-Ressès ! Cet exploit rapide va permettre aux autres troupes qui attendaient que le nettoyage des défenses soit fait pour a leur tour débarqués, dans c’est troupes on trouve des volontaires polonais, des skieurs norvégiens, des chasseurs alpins, faut savoir que les norvégiens eux sont arrivés par les montagnes qui eux établirons la jonction dans la nuit du 13 et 14 mai, la raison est qu ils ont eux un dernier combat avant la jonction avec les fusiliers marins allemands.
A suivre…"
http://grenade.belgicasud.org/
Amicalement
"Le débarquement.
12 mai 40.
Ce matin la brume est basse c’est parfait pour masquer l’escadre anglaise qui s’avance vers la Norvège plus exactement devant Bjervick il est minuit quant elle y arrive.
En protection des quatre chalands blindés ou ce trouve 120 Légionnaires du nouveau régiment la 13e demi brigade de la Légion étrangère, 300 autres Légionnaires forme la deuxième vagues ils viennent d’embarquer dans les chaloupes. Maintenant a cette heure de la nuit on ce croirait en plein jour. La mer est houleuse et la neige tombe en rafale il fait très froid. L’amiral Cork and Orrery qui commande l’escadre anglaise propose au général Bétthouart qui lui commande les troupes française qui vont au sol de commander les tirs de l’artillerie naval qui va appuyer le débarquement. A ce moment on pourrait presque ressentir la joie et la fierté de cet homme surpris de cet demande tous les navires attente cet ordre « Fire » .
Le général prend l’arme et tire vers le ciel éclairci, la fusée rouge n’est pas encore éteinte que les canons d’un commun accord ouvre le feu, Norvège nous voilà semble t’il annoncer !
La ville de Bjervik est rapidement en flamme l’église vole en éclat elle abritait un dépôt de munitions, pendant ce temps la le second appui feu les chars abordent la plage ils sont un total de trois, le premier qui est arriver car les deux autres ont un léger retard est déjà dans la ville avançant lentement parmi les maisons en feu, par rapport a l’ attente glacial sur les péniches ici c’est l’enfer. Un problèmes vient a ce poser aux chaloupes de débarquement pris sous un feu intense d’armes automatique ce trouve être déroutés, elles doivent trouver un autre lieu pour débarquer, heureusement une crique discrète est trouvée ce situant a environs cinq cent mètres de l’endroit initial prévu ! En quelques minutes a peine débarqué l’endroit est sécurisé les deux mitrailleuses allemandes sont neutralisée et capturées indènes, la deuxièmes vagues débarquent ils peuvent a présent progressés dans la neige assez hautes ce trouvant sur les pentes en moins de deux heures une tête de pont est établie par la prise du village. Béthouard a tout suivit du croiseur britannique, il peut aussi cette fois être fier de ses Légionnaires du bataillon Boyer-Ressès ! Cet exploit rapide va permettre aux autres troupes qui attendaient que le nettoyage des défenses soit fait pour a leur tour débarqués, dans c’est troupes on trouve des volontaires polonais, des skieurs norvégiens, des chasseurs alpins, faut savoir que les norvégiens eux sont arrivés par les montagnes qui eux établirons la jonction dans la nuit du 13 et 14 mai, la raison est qu ils ont eux un dernier combat avant la jonction avec les fusiliers marins allemands.
A suivre…"
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La suite
"Les progressions.
Bjervik tombé la tête de pont établie la légion peut avancer vers Meby le 2e bataillon de la 13 du comandant Guéninchault est désigné pour prendre la ville. Manque de chance les chalands blindés sont en retard du au détour des 2 vagues d’assauts précédentes mais aussi du au mauvais temps. Les voilà embarquant dans les simples chaloupes sous le feu de l’ennemi. Le général Béthouart dirige les embarquations vers une crique protégée au porte voix depuis le haut de la passerelles du croiseur anglais. La plupart des hommes ont déjà embarquer quant les chalands blindés arrives, deux blindés vont les accompagnes. Arrivé au sol les armes automatiques sont neutralisés, une fois fait ils ce dirigent vers le camp fortement défendu d’ Elvegaard, arrivés aux alentours de sept heure du matin, ils engagent directement le combat, d’après les témoignages des deux camps les combats furent acharnés, menant a de rudes corps à corps, baraque après baraque les Légionnaires avancent, des prises de choix seront faites des prisonniers et capturant une centaines de mitrailleuses mais aussi une des plus grands intérêt les papiers du général Dietl.
Elvegaard tombé c’est au tour de la cote 220 de subir l’assaut seulement la cote est défendue par 3 mitrailleuses lourde balayant les pentes empêchant la progression. Un des deux chars munis d’un canon de 37 entre en action réduisant deux mitrailleuse, la 3e étant mieux protégée.
Trois espagnols sous les yeux ébahis de leurs camarades s’élancent a l’assaut deux tombes mortellement blesses le troisièmes du nom de Cayso atteint la mitrailleuse avec rage il la jette dans le vide, les servants suivent. Cet exploit lui vaudra d’être le premier médaillé de la 13 et cette dernière d’être la première des nombreuses décorations de la nouvelle demi brigade, cette médaille la médaille militaire lui sera remise quelques semaines plus tard à Sidi bel Abbès par le général Béthourt lui même. Le 2e bataillon dans son avance capturent une dizaine d’avions enlisés, la patrouille la 7e compagnie du capitaine Kovaoff les saboteras. Le général accompagné du colonel Magrin-Verneray comandant la 13 ont débarqué, aussi tôt la compagnie motocycliste du lieutenant Lefort et 18 Légionnaire est envoyée sur la route de Oijord en suivant le nord. Pour soutenir l’avance les navires anglais ont pénétrés dans le Fjord longeant la route. Les allemands reculent aux milieu des réfugiés qui fuient la guerre. Au sud, de l’autre coté de l’eau les Légionnaires capturent sans un coup de feu la presque île de Narvik qui va servir de base aux prochaines opérations."
A suivre…
Amicalement
Bjervik tombé la tête de pont établie la légion peut avancer vers Meby le 2e bataillon de la 13 du comandant Guéninchault est désigné pour prendre la ville. Manque de chance les chalands blindés sont en retard du au détour des 2 vagues d’assauts précédentes mais aussi du au mauvais temps. Les voilà embarquant dans les simples chaloupes sous le feu de l’ennemi. Le général Béthouart dirige les embarquations vers une crique protégée au porte voix depuis le haut de la passerelles du croiseur anglais. La plupart des hommes ont déjà embarquer quant les chalands blindés arrives, deux blindés vont les accompagnes. Arrivé au sol les armes automatiques sont neutralisés, une fois fait ils ce dirigent vers le camp fortement défendu d’ Elvegaard, arrivés aux alentours de sept heure du matin, ils engagent directement le combat, d’après les témoignages des deux camps les combats furent acharnés, menant a de rudes corps à corps, baraque après baraque les Légionnaires avancent, des prises de choix seront faites des prisonniers et capturant une centaines de mitrailleuses mais aussi une des plus grands intérêt les papiers du général Dietl.
Elvegaard tombé c’est au tour de la cote 220 de subir l’assaut seulement la cote est défendue par 3 mitrailleuses lourde balayant les pentes empêchant la progression. Un des deux chars munis d’un canon de 37 entre en action réduisant deux mitrailleuse, la 3e étant mieux protégée.
Trois espagnols sous les yeux ébahis de leurs camarades s’élancent a l’assaut deux tombes mortellement blesses le troisièmes du nom de Cayso atteint la mitrailleuse avec rage il la jette dans le vide, les servants suivent. Cet exploit lui vaudra d’être le premier médaillé de la 13 et cette dernière d’être la première des nombreuses décorations de la nouvelle demi brigade, cette médaille la médaille militaire lui sera remise quelques semaines plus tard à Sidi bel Abbès par le général Béthourt lui même. Le 2e bataillon dans son avance capturent une dizaine d’avions enlisés, la patrouille la 7e compagnie du capitaine Kovaoff les saboteras. Le général accompagné du colonel Magrin-Verneray comandant la 13 ont débarqué, aussi tôt la compagnie motocycliste du lieutenant Lefort et 18 Légionnaire est envoyée sur la route de Oijord en suivant le nord. Pour soutenir l’avance les navires anglais ont pénétrés dans le Fjord longeant la route. Les allemands reculent aux milieu des réfugiés qui fuient la guerre. Au sud, de l’autre coté de l’eau les Légionnaires capturent sans un coup de feu la presque île de Narvik qui va servir de base aux prochaines opérations."
A suivre…
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La voix ferrée
"La voie ferré.
Entre temps les Allemands ce sont réfugiés dans les montagnes ils n’arrivent pas a reprendre le chemin des rivages les Légionnaires leurs coupent la route, il faut aussi reconnaître que l’arrivée des volontaires Polonais est un précieux support. Quoi qu’il en soit la Légion accumules les seuls victoires sur le terrain, un facteur essentielle jouent les Légionnaires ne s’occupent que d’avancer a t’elle point que l’on pourrait dire qu’il ne s’occupe pas du laxisme anglais et de son commandement pour la Légion avancer et gagner sont des mots qui leurs sont chers ! Ces événements vont avoir un retentissement inattendu les changements dans opérations. Le trop mou général Mackezy est remplacé par l’excellent stratège et homme réaliste le géneral Auchinleck qui juge très vite la Légion gagne les britanniques stagne. Auchinleck appel Béthouart et lui confie le commandement de tout le secteur de Narvik, il en faut pas plus pour cet homme il a les mains libre il va en profité et a nouveau gagner. A Magrin-Vernerey ordre lui est donner la 13 prendra Narvik point stratégique. Magrin-Vernerey est un officier de Légion complet il sait ce qu’il doit faire et compter sur c’est hommes il prendra donc Narvik, quel choix meilleure peut faire Béthouart, l’avenir lui donnera raison.
Ayant pris la presque île de Narvik, et malgré la destructions d’avions qui ce trouvaient près du lac, les français doivent avancer non seulement sous les bombardements terrestres mais aussi sous celui de l’aviation allemande qui de plus est maître du ciel. Les positions prises énerves les allemands qui n’arrivent pas a les reprendrenr. Quelques coups du sort vont frapper les Légionnaires, le 15 mai l’hôpital de campagne est frappé de plein fouet tuant le médecin chef Blancardi est tué a son poste. Le 17 c’est au tour du Pc de la 13 d’être toucher tuant le commandant Guéninchault ; le capitaine Carre de Lusancay et le lieutenant Leduc, c’est un coup dur. Les officiers montent a bord d’un destroyer anglais pour effectuer une reconnaissance dans le Rombaksfjord, objectif des reconnaissance afin de trouver des plages de débarquement entre Narvik a l’ Ouest et Ornset a l’Est. Question temps pas d’améliorations pluie et froid il y a même des pieds gelés.
La date de l’opération est fixée pour la nuit du 27 au 28 mai. La 13 et un bataillon Norvégien partent de Oijord devant traversé le Rombaksfjord plus tôt agitée, Reste que trois chalands blindés et quelques simples chaloupes ils ont embarqués pour effectué un débarquement qui pourrait être classé de « vive force » destiné a prendre la célèbre voie ferrée surnommé « la route du fer » cette dernière ce situe à l’est de la ville de Ornset et arrive de Suède. L’escadre britannnique au complet fera appuis feu en liaison avec l’attaque sur Ankenes plus au sud par la brigade Polonaise. Par la suite les Légionnaires retourne a Harstad, leur mission est défendre l’ archipel a tout prix contre toutes attaques allemandes. Le général Béthouart ainsi que le capitaine Faure et le commandant Paris embarque sur un croiseur maintenant c’est l’heure de coordonner l’attaque sur Narvik. Après toutes les victoires acquises la Légion va subir un dernier coup du sort, mais heureusement Béthouart était la ! "
A suive….
Amitiés à toi, Yves (Legio Patria Nostra!)
Entre temps les Allemands ce sont réfugiés dans les montagnes ils n’arrivent pas a reprendre le chemin des rivages les Légionnaires leurs coupent la route, il faut aussi reconnaître que l’arrivée des volontaires Polonais est un précieux support. Quoi qu’il en soit la Légion accumules les seuls victoires sur le terrain, un facteur essentielle jouent les Légionnaires ne s’occupent que d’avancer a t’elle point que l’on pourrait dire qu’il ne s’occupe pas du laxisme anglais et de son commandement pour la Légion avancer et gagner sont des mots qui leurs sont chers ! Ces événements vont avoir un retentissement inattendu les changements dans opérations. Le trop mou général Mackezy est remplacé par l’excellent stratège et homme réaliste le géneral Auchinleck qui juge très vite la Légion gagne les britanniques stagne. Auchinleck appel Béthouart et lui confie le commandement de tout le secteur de Narvik, il en faut pas plus pour cet homme il a les mains libre il va en profité et a nouveau gagner. A Magrin-Vernerey ordre lui est donner la 13 prendra Narvik point stratégique. Magrin-Vernerey est un officier de Légion complet il sait ce qu’il doit faire et compter sur c’est hommes il prendra donc Narvik, quel choix meilleure peut faire Béthouart, l’avenir lui donnera raison.
Ayant pris la presque île de Narvik, et malgré la destructions d’avions qui ce trouvaient près du lac, les français doivent avancer non seulement sous les bombardements terrestres mais aussi sous celui de l’aviation allemande qui de plus est maître du ciel. Les positions prises énerves les allemands qui n’arrivent pas a les reprendrenr. Quelques coups du sort vont frapper les Légionnaires, le 15 mai l’hôpital de campagne est frappé de plein fouet tuant le médecin chef Blancardi est tué a son poste. Le 17 c’est au tour du Pc de la 13 d’être toucher tuant le commandant Guéninchault ; le capitaine Carre de Lusancay et le lieutenant Leduc, c’est un coup dur. Les officiers montent a bord d’un destroyer anglais pour effectuer une reconnaissance dans le Rombaksfjord, objectif des reconnaissance afin de trouver des plages de débarquement entre Narvik a l’ Ouest et Ornset a l’Est. Question temps pas d’améliorations pluie et froid il y a même des pieds gelés.
La date de l’opération est fixée pour la nuit du 27 au 28 mai. La 13 et un bataillon Norvégien partent de Oijord devant traversé le Rombaksfjord plus tôt agitée, Reste que trois chalands blindés et quelques simples chaloupes ils ont embarqués pour effectué un débarquement qui pourrait être classé de « vive force » destiné a prendre la célèbre voie ferrée surnommé « la route du fer » cette dernière ce situe à l’est de la ville de Ornset et arrive de Suède. L’escadre britannnique au complet fera appuis feu en liaison avec l’attaque sur Ankenes plus au sud par la brigade Polonaise. Par la suite les Légionnaires retourne a Harstad, leur mission est défendre l’ archipel a tout prix contre toutes attaques allemandes. Le général Béthouart ainsi que le capitaine Faure et le commandant Paris embarque sur un croiseur maintenant c’est l’heure de coordonner l’attaque sur Narvik. Après toutes les victoires acquises la Légion va subir un dernier coup du sort, mais heureusement Béthouart était la ! "
A suive….
Amitiés à toi, Yves (Legio Patria Nostra!)
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La Norvège 4
Suite de l'analyse de P'tit Sapeur sur les combats de Narvick
"Béthouart un esprit Légion !
L’ amiral lord Cork and Orrery convoque Béthouart on est le 26 mai veille de l’opération contre. Stupeur du général, l’amiral lui montre un télégramme, le gouvernement de sa très gracieuse majesté « très » britannique a décider l’évacuation rapide de la Norvège septentrionale. Mais ce papier dit aussi qu’il admet que pour facilité la tache de l’embarquement des troupes quelques destructions seraient nécessaires, notamment celle de « la route du fer. » Il n’en faut pas plus a Béthouart quand l’amiral lui demande « Dans ces conditions, maintenez vous votre attaque ? Il saute sur l’occasion qui lui est offerte et répond. Pour faciliter l’évacuation et éviter un désastre il faut d’abord chasser l’ennemi de Narvik en suite le repousser jusqu'à la frontière Suédoise.
Béthouart : J’attaquerai comme prévu.
L’amiral : Bien entendu, je vous appuierai.
L’amiral engagera donc deux croiseurs et cinq destroyers, ainsi que deux escadrilles de l’aéronavale. Trois batteries dont deux françaises et l’autre norvégienne qui vont prendre position, à Oijord. A l’abri des regards le premier échelon de la Légion embarque à Seine.
Pour l’opération Béthouart dispose de cinq chalands dont trois blindés ou les trois cent Légionnaires doivent s’entassé tant bien que mal. A leur départ c’est pas pour les aider la nuit est clair, mais les chalands appareilles tout de même. Longeant a l’abris des cotes le convois arrive dans le Rombakfjord le convoi sans s’attarder file vers la presque île de Ornesset. Arrivé il lance une fusée verte c’est le signal pour l’amiral toute l’artillerie de marine ainsi que les 3 batteries déclenche un feu d’enfer sur les allemands.
Arriver a terre les Légionnaires de la 1er Cie « Capitaine de Guittaut » et la 2e « Capitaine Gilbert » foncent et ne trouvent pas de défenseurs, les allemands semblent s’êtres volatilisés dans le bombardement qui est vrais en aurait fait fuir plus d’un, mais la réalité est qu’ils ont été ce réfugiés sur les hauteurs pour établir des positions défensives et s’y maintenir. La 13 à atteint avec réussite ses premiers objectifs, maintenant elle protège les troupes suivantes qui arrivent par les chalands qui font un interminable va et vient dans le fjord. L’accalmie est de courte durée l’artillerie allemande à son tour entre en action sur les troupes qui embarquent sur la presqu’île d’Oijord parmi les pertes on compte le commandant de la compagnie de soutien du bataillon Boyer-Ressès le capitaine Guillemin. Les tirs violents disperse les Légionnaires car obliger de s’abriter plus question d’horaire respecter résultat tout ces retards vont casquer cher.
Le bataillon Boyer-Ressès débarque à Ornset la voie ferrée qui est leur objectif est malgré tout atteint rapidement, commençant les sabotages ils sont pris a partie par un canon qui les a repérés, ce canon monté sur une plate forme ferroviaire est redoutable de précision, il faut absolument le détruire. Que font les Légionnaires et bien il vont a plusieurs et a bras d’hommes empoignés un petit canon de 25 et détruire le canon, le coup était téméraire mais qui peut s’opposer à ces hommes, dans la foulée ils font prisonniers une quinzaines d’homes et un officier encore surpris de ce coup d’audace ! Des bateaux de pêches norvégiens débarquent le 2e échelons le bataillon norvégien qui commence a gravir les pentes qui dominent le fjord. D »autres troupes débarquent entre Ornset et Narvik un problème est majeur ils se retrouvent dans la boue devenue marécageuse du fait du dégel, difficultés de mouvements pour les deux chars d’appuis. Entre temps le commandement du 2e bataillons de la 13 est repris par le capitaine Ponthieu qui commande le 2e échelon Légion, ce dernier est fort en retard .
A suivre…"
Amicalement
"Béthouart un esprit Légion !
L’ amiral lord Cork and Orrery convoque Béthouart on est le 26 mai veille de l’opération contre. Stupeur du général, l’amiral lui montre un télégramme, le gouvernement de sa très gracieuse majesté « très » britannique a décider l’évacuation rapide de la Norvège septentrionale. Mais ce papier dit aussi qu’il admet que pour facilité la tache de l’embarquement des troupes quelques destructions seraient nécessaires, notamment celle de « la route du fer. » Il n’en faut pas plus a Béthouart quand l’amiral lui demande « Dans ces conditions, maintenez vous votre attaque ? Il saute sur l’occasion qui lui est offerte et répond. Pour faciliter l’évacuation et éviter un désastre il faut d’abord chasser l’ennemi de Narvik en suite le repousser jusqu'à la frontière Suédoise.
Béthouart : J’attaquerai comme prévu.
L’amiral : Bien entendu, je vous appuierai.
L’amiral engagera donc deux croiseurs et cinq destroyers, ainsi que deux escadrilles de l’aéronavale. Trois batteries dont deux françaises et l’autre norvégienne qui vont prendre position, à Oijord. A l’abri des regards le premier échelon de la Légion embarque à Seine.
Pour l’opération Béthouart dispose de cinq chalands dont trois blindés ou les trois cent Légionnaires doivent s’entassé tant bien que mal. A leur départ c’est pas pour les aider la nuit est clair, mais les chalands appareilles tout de même. Longeant a l’abris des cotes le convois arrive dans le Rombakfjord le convoi sans s’attarder file vers la presque île de Ornesset. Arrivé il lance une fusée verte c’est le signal pour l’amiral toute l’artillerie de marine ainsi que les 3 batteries déclenche un feu d’enfer sur les allemands.
Arriver a terre les Légionnaires de la 1er Cie « Capitaine de Guittaut » et la 2e « Capitaine Gilbert » foncent et ne trouvent pas de défenseurs, les allemands semblent s’êtres volatilisés dans le bombardement qui est vrais en aurait fait fuir plus d’un, mais la réalité est qu’ils ont été ce réfugiés sur les hauteurs pour établir des positions défensives et s’y maintenir. La 13 à atteint avec réussite ses premiers objectifs, maintenant elle protège les troupes suivantes qui arrivent par les chalands qui font un interminable va et vient dans le fjord. L’accalmie est de courte durée l’artillerie allemande à son tour entre en action sur les troupes qui embarquent sur la presqu’île d’Oijord parmi les pertes on compte le commandant de la compagnie de soutien du bataillon Boyer-Ressès le capitaine Guillemin. Les tirs violents disperse les Légionnaires car obliger de s’abriter plus question d’horaire respecter résultat tout ces retards vont casquer cher.
Le bataillon Boyer-Ressès débarque à Ornset la voie ferrée qui est leur objectif est malgré tout atteint rapidement, commençant les sabotages ils sont pris a partie par un canon qui les a repérés, ce canon monté sur une plate forme ferroviaire est redoutable de précision, il faut absolument le détruire. Que font les Légionnaires et bien il vont a plusieurs et a bras d’hommes empoignés un petit canon de 25 et détruire le canon, le coup était téméraire mais qui peut s’opposer à ces hommes, dans la foulée ils font prisonniers une quinzaines d’homes et un officier encore surpris de ce coup d’audace ! Des bateaux de pêches norvégiens débarquent le 2e échelons le bataillon norvégien qui commence a gravir les pentes qui dominent le fjord. D »autres troupes débarquent entre Ornset et Narvik un problème est majeur ils se retrouvent dans la boue devenue marécageuse du fait du dégel, difficultés de mouvements pour les deux chars d’appuis. Entre temps le commandement du 2e bataillons de la 13 est repris par le capitaine Ponthieu qui commande le 2e échelon Légion, ce dernier est fort en retard .
A suivre…"
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Narvick. FIN
Fin du texte de mon ami P'tit Sapeur! Belge parmi les Belges, légionnaire jusqu'au bout des ongles! Un passionné, comme nous!
"A moi la Légion !
A terre contre attaque et essaye de rejeter les Légionnaires a la mer pour s ‘y employer l’état major Allemand jette contre eux les parachutistes, les chasseurs de montagne et les fusiliers marins, ces derniers on un moment d’hésitation, Guillaud le voit et s’élance en criant « A moi la Légion » l’ennemi recule. Encore une fois un coup dur les frappe Guillaud est tué a tête de la 2e Cie, 60 gradés et Légionnaires soit plus du tiers des effectfs.
Le bataillon Ponthieu arrive en soutien du bataillon Boyer-Ressès. Malgrés les bombardements aériens ou terrestres et surtout les retards de toutes sortes, le désordre régnant, les Légionnaires de la seconde vague débarquent a 5 heures, quand à la totalité des effectifs Légion sur presqu’île de l’autre coté du fjord ne s’effectuera cas 11 heure du matin. Les officiers tombent tout comme les Légionnaires effectuant leur devoir a l’unisson, la Légion perd un autre officier sur la plage d’Ornset , ce dernier le Comandant Paris, chef d’état major de la Division, il venait de débarquer pour effectué la liaison avec le Lieutenant Colonel Magrin-Vernerey.
L’aviation britannique fini par intervenir. Enfin les Légionnaires peuvent avancer vers Narvik a 18 h 00 ils enlèvent la cote 457. Les Légionnaires laissent a leurs frères d’armes du moment les Norvégiens l’entrée en premiers dans la ville, honneur que ceux si n’oublierons pas dans les années a venir, a la tête de ces derniers qui sera porter en triomphe jusqu'à la boulangerie de ces parents un soldat originaire de la ville. Le bataillon Ponthieu lui contourne la ville par l’ouest, le bataillon Boyer-Ressès lui continue sa progression vers l’Est, longeant les voies ferrées le long du Fjord. Le peloton motocycliste du lieutenant Lefort est toujours en tête, il est suivit du lieutenant colonel Magrain-Vernerey qui a pris place dans un véhicule réquisitionné. Leurs avancent dans la presqu’île avançant vers le sud ouest pour attaquer Belsfjord, ou la 13 rejoint le bataillon polonais. A minuit les postions sont conquise, a 6h00 du matin le Magrin-Vernerey est revenu d’une longue patrouille, et comble de tout s’est endormi protégé par un prisonnier allemand, il sera réveiller par le général Béthouart qui lui vient d’Oijord ou il a passer quelques heures fêtant avec les Norvégiens la libération de la ville, avant de rejoindre son chef de l’autre coté du Fjord. Le bataillon Boyer-Ressès lui continue sa progression en direction de Sildvik en longeant la voie ferrée qui va a la frontière Suedoise. Rapidement il occupe la cote 103, continuant sa route, un troisième char vient l’appuyer ce dernier va par remorquage dés enlisé un confrère. Ub des trois char devenu inutilisable va rester t’elle un monument des souvenirs de ces jours sur place doute la durée de la guerre. Pourtant aucunes de ces victoires locales ou autres ne peu empêcher immanquablement l’ordre d’évacuation. Les Légionnaires le savent et ne veulent pas partir sans laisser savoir aux allemands que c’est à la Légion qu’ils ont affaires, rageusement ils les repousses jusqu'à la frontière Suédoise. Mais voilà les allemands ne le ferons pas le haut commandement alliès donne l’ordre fatal pour le 7 juin c’est irrémédiable. C’est la fin des victoires, Magrin-Vernerey reçoit des mains du maire de la ville un fanion brodé par sa femme, cadeau a la 13. A 22h00 la Légion quitte la ville.
Tout va s’enchaîner très vite. Destructions du matériels, le peloton cycliste rentre a pied, Lefort et ses hommes formerons l’arrière garde les Pionniers aussi. Les pionniers détruirons 300 mètres de voie ferrée, dans la foulée détruise aussi un tunel de la route du fer. La Légion embarque en dernier sur un destroyer britannique, Béthouart et Magrin-Vernerey les accompagnent, officiers et Légionnaires comme a leurs habitudes unis dans les joies et la souffrance.
La Légion pour cette mission de sacrifice paye un tribu de 150 tués et blessés, mais elle a donner a donner a la France au dela du cercle polaire, sa seule victoire dans cette triste année de défaites 1940. La France et les Français s’en souviennent encore maintenant 66 ans après. « La Légion marche vers le front… » "
Amitiés
"A moi la Légion !
A terre contre attaque et essaye de rejeter les Légionnaires a la mer pour s ‘y employer l’état major Allemand jette contre eux les parachutistes, les chasseurs de montagne et les fusiliers marins, ces derniers on un moment d’hésitation, Guillaud le voit et s’élance en criant « A moi la Légion » l’ennemi recule. Encore une fois un coup dur les frappe Guillaud est tué a tête de la 2e Cie, 60 gradés et Légionnaires soit plus du tiers des effectfs.
Le bataillon Ponthieu arrive en soutien du bataillon Boyer-Ressès. Malgrés les bombardements aériens ou terrestres et surtout les retards de toutes sortes, le désordre régnant, les Légionnaires de la seconde vague débarquent a 5 heures, quand à la totalité des effectifs Légion sur presqu’île de l’autre coté du fjord ne s’effectuera cas 11 heure du matin. Les officiers tombent tout comme les Légionnaires effectuant leur devoir a l’unisson, la Légion perd un autre officier sur la plage d’Ornset , ce dernier le Comandant Paris, chef d’état major de la Division, il venait de débarquer pour effectué la liaison avec le Lieutenant Colonel Magrin-Vernerey.
L’aviation britannique fini par intervenir. Enfin les Légionnaires peuvent avancer vers Narvik a 18 h 00 ils enlèvent la cote 457. Les Légionnaires laissent a leurs frères d’armes du moment les Norvégiens l’entrée en premiers dans la ville, honneur que ceux si n’oublierons pas dans les années a venir, a la tête de ces derniers qui sera porter en triomphe jusqu'à la boulangerie de ces parents un soldat originaire de la ville. Le bataillon Ponthieu lui contourne la ville par l’ouest, le bataillon Boyer-Ressès lui continue sa progression vers l’Est, longeant les voies ferrées le long du Fjord. Le peloton motocycliste du lieutenant Lefort est toujours en tête, il est suivit du lieutenant colonel Magrain-Vernerey qui a pris place dans un véhicule réquisitionné. Leurs avancent dans la presqu’île avançant vers le sud ouest pour attaquer Belsfjord, ou la 13 rejoint le bataillon polonais. A minuit les postions sont conquise, a 6h00 du matin le Magrin-Vernerey est revenu d’une longue patrouille, et comble de tout s’est endormi protégé par un prisonnier allemand, il sera réveiller par le général Béthouart qui lui vient d’Oijord ou il a passer quelques heures fêtant avec les Norvégiens la libération de la ville, avant de rejoindre son chef de l’autre coté du Fjord. Le bataillon Boyer-Ressès lui continue sa progression en direction de Sildvik en longeant la voie ferrée qui va a la frontière Suedoise. Rapidement il occupe la cote 103, continuant sa route, un troisième char vient l’appuyer ce dernier va par remorquage dés enlisé un confrère. Ub des trois char devenu inutilisable va rester t’elle un monument des souvenirs de ces jours sur place doute la durée de la guerre. Pourtant aucunes de ces victoires locales ou autres ne peu empêcher immanquablement l’ordre d’évacuation. Les Légionnaires le savent et ne veulent pas partir sans laisser savoir aux allemands que c’est à la Légion qu’ils ont affaires, rageusement ils les repousses jusqu'à la frontière Suédoise. Mais voilà les allemands ne le ferons pas le haut commandement alliès donne l’ordre fatal pour le 7 juin c’est irrémédiable. C’est la fin des victoires, Magrin-Vernerey reçoit des mains du maire de la ville un fanion brodé par sa femme, cadeau a la 13. A 22h00 la Légion quitte la ville.
Tout va s’enchaîner très vite. Destructions du matériels, le peloton cycliste rentre a pied, Lefort et ses hommes formerons l’arrière garde les Pionniers aussi. Les pionniers détruirons 300 mètres de voie ferrée, dans la foulée détruise aussi un tunel de la route du fer. La Légion embarque en dernier sur un destroyer britannique, Béthouart et Magrin-Vernerey les accompagnent, officiers et Légionnaires comme a leurs habitudes unis dans les joies et la souffrance.
La Légion pour cette mission de sacrifice paye un tribu de 150 tués et blessés, mais elle a donner a donner a la France au dela du cercle polaire, sa seule victoire dans cette triste année de défaites 1940. La France et les Français s’en souviennent encore maintenant 66 ans après. « La Légion marche vers le front… » "
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