Entrainement
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Entrainement
Réalisés sur une base de Panther.
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Tobrouk- Admin
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Re: Entrainement
petite video des techniques d'entrainement des techniques de combat devant hitler
filmée entre 1934 et 1936
http://militaria.wwii.free.fr/freiheit.avi
filmée entre 1934 et 1936
http://militaria.wwii.free.fr/freiheit.avi
Re: Entrainement
J'aime bien ta Photo Tobrouk, très belle.
Et la vidéo est assez bien faite, mais c'est un Entrainement de la Wehrmacht....
Et la vidéo est assez bien faite, mais c'est un Entrainement de la Wehrmacht....
Re: Entrainement
oui biensûr, je n'avais pas tenu compte de la fin de la RW dans mon post, donc en effet plutôt 2ème moitié 35
pourquoi?
devant le patron on met ce qu'il y a de mieux en équipement, ors là ils sont encore équipés en majorité de casque m16 (ww1 reconditionnés) au lieu du m35 et des vareuse m33 au lieu des m36 (m33=col vert clair comme la m40, la m36 a le col vert très foncé)
et après 34 car présence de mg34
pourquoi?
devant le patron on met ce qu'il y a de mieux en équipement, ors là ils sont encore équipés en majorité de casque m16 (ww1 reconditionnés) au lieu du m35 et des vareuse m33 au lieu des m36 (m33=col vert clair comme la m40, la m36 a le col vert très foncé)
et après 34 car présence de mg34
Re: Entrainement
Ha désoler je n'avait pas vue tous c'est détail ^^
Mais c'est belle est bien la Wehrmacht quand même ? je en me trompe pas la ?
Mais c'est belle est bien la Wehrmacht quand même ? je en me trompe pas la ?
Entrainement
Erwin
vérifie ta signature, quelque chose ne va pas
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Re: Entrainement
Erwin von Botryche a écrit:Ha désoler je n'avait pas vue tous c'est détail ^^
Mais c'est belle est bien la Wehrmacht quand même ? je en me trompe pas la ?
non pas du tout, tu as même rectifié mon erreur, vu que la RW a cessé d'exister mi 1935 la video ne pouvait pas être tournée en 34 vu que c'est bien la wehrmacht qui figure ici
donc mi 35 à début 36
Dernière édition par le 2007-03-28, 15:32, édité 1 fois
Re: Entrainement
Myth a écrit:Erwin von Botryche a écrit:Ha désoler je n'avait pas vue tous c'est détail ^^
Mais c'est belle est bien la Wehrmacht quand même ? je en me trompe pas la ?
non pas du tout, tu as même rectifié mon erreur, vu que la RW a cessé d'exister mi 1934 la video ne pouvait pas être tournée en 34 vu que c'est bien la wehrmacht qui figure ici
donc mi 35 à début 36
Ok ca va merci ^^
Erwin
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J'ai pas compris ? .....
Entrainement
A un certain mement tu n'avait plus ta bannière en guise de signature! C'est revenu!
A plus
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Re: Entrainement
Tobrouk a écrit:Réalisés sur une base de Panther.
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Bonjour
Pas sur une base de Panther mais de Panzer PzKpfw I.
Les allemands Cherchent un char rapide d'instruction dont l'armement et la protection n'ont aucune importance, donc en 1932 le Heereswaffenamt ou bureau des armements terrestres achète en 1932 un Carden-Loyd IV qui correspond à leur programme de char d'instruction de 5 tonnes. Il sera copié par la société Krupp pour la fabrication de leur trois prototypes désignés LKA I. En juillet 1934 150 véhicules sont commandés. Les matériels livrés en 1934 par les sociétés Krupp, Man, Henschel, Daimler-Benz et Wegmann sous la désignation Fahrschulewagen I (voiture auto-école) sont sans superstructure et tourelle.
Cordialement
Re: Entrainement
En écrivant Panther je pensais à Panzer!
Merci d'avoir rectifié!
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Tobrouk- Admin
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Re: Entrainement
L'un chose qui se distingue la Reichswehr en revanche des armées du monde entier entre-deux-guerres était l’entraînement des chefs. Suivante la Paix e Versailles, l'armée allemande ne fut que 100 000 soldats, dont 4 000 officiers. Sous la pression d'économie le faisant pire, le militaire fut l'un des quelques routes où on pourrait faire une bonne carrière. Sans armes, les chefs étaient les cartes, maîtrisant la localité vingt ans plus tard. Puis, les chefs eurent traîner notamment à un grade plus haut que leur grade eut doté. Par exemple, si on se trouve un chef de peloton, on dirait que il ait traîner bien capable de conduire les fonctions marqué par un chef de compagnie. Même enfin d'un chef de régiment à la pensée d'un chef de bataillon, de bataillon à régiment, de régiment à division, de division à corps, de corps à armée, d'armée à corps d'armées (comme un chef d'état-major), de corps d'armées à groupe d'armées, de groupe d'armées à commandant en chef.
En revanche, l'armée française avait une guerre de deux fronts : la classe politique aussi bien que la menace de sa adversaire. Des années 1920, il nous faut oublier les politiques de la gauche, qui on démontrait le temps doté pour les hommes sous le service militaire obligatoire. Par le loi de Paul Poincaré en 1928, il y avait, contre les souhaites des hauts officiers, diminués le cours de dix-huit mois à un an. Très important quand l'on sait l'armée française se préparait à combattre encore les Allemands immédiatement suivante la Première Guerre mondiale. (Je vous cite le développement de la doctrine d'artillerie de 1919, et la ligne Maginot, prévue bloquer « une attaque brusquée » par ses adversaires.) On conclurait ainsi que la France n'a jamais réellement su la sécurité au sein des militaires, alors que les civils et les politiques étaient sous l'impression d'un monde nouvel de la bravoure, malheureusement. C'était que de 1934 à 1935 que la classe politique écoutait aux hauts officiers, suivante la pression d'un Adolf Hitler sous le 3e Reich, qu'on remettait en place l'entraînement de un an à deux ans. Si on croit à l'écrivain Dominique Lormier, la 102e division d'infanterie de forteresse se trouve dans ses rangs les réservistes des classes 1927 aussi bien que 1936, dont les plus jeunes soldats sous l'entraînement de dix-huit mois, les plus âgés soldats sous l'entraînement de deux ans, dont on trouve exclu les soldats de 1928 à 1934 ou 1935... Et cela suive la réalité que notre démographie portait beaucoup plus à la désavantage quand on considérait les effectifs (1:1.2 à 1860, 1:1.5 à 1910, 1:2 à 1940).
Totalisant ces considérations, on conclut que la doctrine allemande de décentralisation favorisée les conditions mise en place par la Paix de Versailles, que les politiques françaises (notamment de la gauche, beaucoup influencé par les écrits de Jean Jaurès) diminuées la qualité des soldats et donc forçant les hauts officiers de continuer à une doctrine centraliser très forte en la localité mais non flexible en manœuvres opérationnelles (donc non sauvetage du centre du front par le fer de lance en 1940, en revanche de 1914, où la manœuvre des forces françaises permit de sortir de la piège à Alsace-Lorraine, se battant vers Paris pour la sauver), que la démographie conjuguée avec la politique de gauche (pacifisme) a manqué l'opportunité d'actualiser les reformations de la modernisation de l'armée, conduits notamment par les généraux Weygand et Gamelin.
Je vous conseille le livre par Karl-Heinz Frieser (Le Mythe d'une guerre-éclair, ou “The Blitzkrieg Legend” en anglais, traduit d'allemand à anglais)... Un livre par le général Robert Doughty sur l'École de guerre des entre-deux-guerres serait de la valeur (“Seeds of Disaster”) mais je ne croit qu'il est disponible en français. Douglas Porch est toujours intéressant par ces critiques sociologues de l'armée française post-napoléonienne en général (“March to the Marne”).
Merci et je vous invite à poser des questions si ma utilisation des phrases n'était pas d'assez clair. Malgré ma mère est française, elle n'a jamais m'appris que en parlant. Après avoir traduit un livre par Lormier (le projet se continuait), il fallu je m'apprends moi-même sans des instructions...
En revanche, l'armée française avait une guerre de deux fronts : la classe politique aussi bien que la menace de sa adversaire. Des années 1920, il nous faut oublier les politiques de la gauche, qui on démontrait le temps doté pour les hommes sous le service militaire obligatoire. Par le loi de Paul Poincaré en 1928, il y avait, contre les souhaites des hauts officiers, diminués le cours de dix-huit mois à un an. Très important quand l'on sait l'armée française se préparait à combattre encore les Allemands immédiatement suivante la Première Guerre mondiale. (Je vous cite le développement de la doctrine d'artillerie de 1919, et la ligne Maginot, prévue bloquer « une attaque brusquée » par ses adversaires.) On conclurait ainsi que la France n'a jamais réellement su la sécurité au sein des militaires, alors que les civils et les politiques étaient sous l'impression d'un monde nouvel de la bravoure, malheureusement. C'était que de 1934 à 1935 que la classe politique écoutait aux hauts officiers, suivante la pression d'un Adolf Hitler sous le 3e Reich, qu'on remettait en place l'entraînement de un an à deux ans. Si on croit à l'écrivain Dominique Lormier, la 102e division d'infanterie de forteresse se trouve dans ses rangs les réservistes des classes 1927 aussi bien que 1936, dont les plus jeunes soldats sous l'entraînement de dix-huit mois, les plus âgés soldats sous l'entraînement de deux ans, dont on trouve exclu les soldats de 1928 à 1934 ou 1935... Et cela suive la réalité que notre démographie portait beaucoup plus à la désavantage quand on considérait les effectifs (1:1.2 à 1860, 1:1.5 à 1910, 1:2 à 1940).
Totalisant ces considérations, on conclut que la doctrine allemande de décentralisation favorisée les conditions mise en place par la Paix de Versailles, que les politiques françaises (notamment de la gauche, beaucoup influencé par les écrits de Jean Jaurès) diminuées la qualité des soldats et donc forçant les hauts officiers de continuer à une doctrine centraliser très forte en la localité mais non flexible en manœuvres opérationnelles (donc non sauvetage du centre du front par le fer de lance en 1940, en revanche de 1914, où la manœuvre des forces françaises permit de sortir de la piège à Alsace-Lorraine, se battant vers Paris pour la sauver), que la démographie conjuguée avec la politique de gauche (pacifisme) a manqué l'opportunité d'actualiser les reformations de la modernisation de l'armée, conduits notamment par les généraux Weygand et Gamelin.
Je vous conseille le livre par Karl-Heinz Frieser (Le Mythe d'une guerre-éclair, ou “The Blitzkrieg Legend” en anglais, traduit d'allemand à anglais)... Un livre par le général Robert Doughty sur l'École de guerre des entre-deux-guerres serait de la valeur (“Seeds of Disaster”) mais je ne croit qu'il est disponible en français. Douglas Porch est toujours intéressant par ces critiques sociologues de l'armée française post-napoléonienne en général (“March to the Marne”).
Merci et je vous invite à poser des questions si ma utilisation des phrases n'était pas d'assez clair. Malgré ma mère est française, elle n'a jamais m'appris que en parlant. Après avoir traduit un livre par Lormier (le projet se continuait), il fallu je m'apprends moi-même sans des instructions...
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