bombardier torpilleur français
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bombardier torpilleur français
LEVASSEUR PL 7
Après l'échec du chasseur biplan biplace PL 6, Levasseur se lança dans la réalisation d'un bombardier torpilleur destiné à prendre la relève des PL 2 alors en service au sein de l'aéronotique maritime française. Le prototype du PL 7 effectua la plupart de ses essais en vol à partir de 1926 avec des propulseurs Farman 12 We mis au point par Renault et Hispano-Suiza.
A la suite de la commande d'une quinzaine de machines, dont neuf étaient pourvue d'une voilure de dix-huit métres d'envergure, l'amirauté demanda au constructeur de lui livrer cinq autres appareil dotés de plans de seize mètres cinquante et un autre de dix-sept mètres cinquante. Ceux-ci entrèrent en service au sein de l'escadrille 7B1, embarquée sur le porte-avions Béarn, au mois de juillet 1930. La voilure de seize mètres cinquante fut finalement sélectionnée pour la version définitive baptisée PL 7 T2B2b.
Interdit de vol en juin 1931 pour des problèmes de vibrations ayant entraîné la désintégration de deux PL 7, l'engin reprit le chemin des unités opérationnelles en septembre 1932 avec un haubanage renforcé et une hélice tripale. Bien que totalement dépassé, il se trouvait encore dans les formations de première ligne à bord du Béarn lors de la déclaration de guerre de septembre 1939.
type : bombardier torpilleur embarqué
Moteurs : 1 Farman 12 We de 550 ch.
Performances : Vitesse maximale : 170 km/h;
Distance franchissable : 800 km
charge utile : 1 000 kg
Masse en charge : 3 950 kg
Dimensions : envergure 16,50 m; longueur 11,68 m; hauteur : 4,9 m
Armement : 2 mitrailleuses MAC de 7,5 mm montées sur un affût manié par l'observateur et une charge offensive composée d'une torpille de 670 kg ou de 510 kg de bombes.
LATECOERE 299
Réalisé en 1939 sur la base du Latécoère 298, hydravion déjà en service dans les unités de l'aéronavale française, le Latécoère 299 fut conçu pour prendre la relève des biplans embarqués à bord du Béarn. Destiné aux missions multiples de reconnaissance, de torpillage, de bombardement et même de mise en place de rideaux de fumée, cet appareil polyvalent effectua son premier vol en juillet 1939. Un second prototype fut réalisé en octobre de la même année. Appareil embarqué, le Latécoère 299 était muni d'ailes repliables devant faciliter le stockage et bénéficiait de diverses améliorations touchant à l'aérodynamisme. Il était en particulier doté d'un train d'atterrissage escamotable vers l'arrière.
Les évênements de 1940 interdirent le développement de la formule, et les deux prototypes, qui se révélèrent d'ailleurs quelque peu décevants lors de leurs premiers essais, furent les seuls exemplaires réalisés. Le premier prototype servit un temps de banc d'essai au moteur Hispano-Suiza 12Y-31 de 860 ch qui, actionnant des hélices coaxiales contrarotatives, permit à l'appareil d'atteindre 468 km/h soit 113 km/h supplémentaires par rapport aux performances antérieures.
Le 30 avril 1944, l'appareil fut détruit lors d'un bombardement aérien et aucune suite ne fut donnée au projet.
type : appareil de bombardement et de reconnaissance triplace embarqué
Moteurs : 1 Hispano-Suiza 12Y-43 de 950 ch.
Performances : Vitesse maximale : 355 km/h;
Plafond pratique : 6 800 m
Autonomie de vol : 5 heures
Masse en charge : 4 548 kg
Dimensions : envergure 15,63 m; longueur 12,28 m; surface alaire : 34,64 m2
Armement : 3 mitrailleuses MAC de 7,5 mm, une torpille de 750 kg ou 600 kg de bombes.
Après l'échec du chasseur biplan biplace PL 6, Levasseur se lança dans la réalisation d'un bombardier torpilleur destiné à prendre la relève des PL 2 alors en service au sein de l'aéronotique maritime française. Le prototype du PL 7 effectua la plupart de ses essais en vol à partir de 1926 avec des propulseurs Farman 12 We mis au point par Renault et Hispano-Suiza.
A la suite de la commande d'une quinzaine de machines, dont neuf étaient pourvue d'une voilure de dix-huit métres d'envergure, l'amirauté demanda au constructeur de lui livrer cinq autres appareil dotés de plans de seize mètres cinquante et un autre de dix-sept mètres cinquante. Ceux-ci entrèrent en service au sein de l'escadrille 7B1, embarquée sur le porte-avions Béarn, au mois de juillet 1930. La voilure de seize mètres cinquante fut finalement sélectionnée pour la version définitive baptisée PL 7 T2B2b.
Interdit de vol en juin 1931 pour des problèmes de vibrations ayant entraîné la désintégration de deux PL 7, l'engin reprit le chemin des unités opérationnelles en septembre 1932 avec un haubanage renforcé et une hélice tripale. Bien que totalement dépassé, il se trouvait encore dans les formations de première ligne à bord du Béarn lors de la déclaration de guerre de septembre 1939.
type : bombardier torpilleur embarqué
Moteurs : 1 Farman 12 We de 550 ch.
Performances : Vitesse maximale : 170 km/h;
Distance franchissable : 800 km
charge utile : 1 000 kg
Masse en charge : 3 950 kg
Dimensions : envergure 16,50 m; longueur 11,68 m; hauteur : 4,9 m
Armement : 2 mitrailleuses MAC de 7,5 mm montées sur un affût manié par l'observateur et une charge offensive composée d'une torpille de 670 kg ou de 510 kg de bombes.
LATECOERE 299
Réalisé en 1939 sur la base du Latécoère 298, hydravion déjà en service dans les unités de l'aéronavale française, le Latécoère 299 fut conçu pour prendre la relève des biplans embarqués à bord du Béarn. Destiné aux missions multiples de reconnaissance, de torpillage, de bombardement et même de mise en place de rideaux de fumée, cet appareil polyvalent effectua son premier vol en juillet 1939. Un second prototype fut réalisé en octobre de la même année. Appareil embarqué, le Latécoère 299 était muni d'ailes repliables devant faciliter le stockage et bénéficiait de diverses améliorations touchant à l'aérodynamisme. Il était en particulier doté d'un train d'atterrissage escamotable vers l'arrière.
Les évênements de 1940 interdirent le développement de la formule, et les deux prototypes, qui se révélèrent d'ailleurs quelque peu décevants lors de leurs premiers essais, furent les seuls exemplaires réalisés. Le premier prototype servit un temps de banc d'essai au moteur Hispano-Suiza 12Y-31 de 860 ch qui, actionnant des hélices coaxiales contrarotatives, permit à l'appareil d'atteindre 468 km/h soit 113 km/h supplémentaires par rapport aux performances antérieures.
Le 30 avril 1944, l'appareil fut détruit lors d'un bombardement aérien et aucune suite ne fut donnée au projet.
type : appareil de bombardement et de reconnaissance triplace embarqué
Moteurs : 1 Hispano-Suiza 12Y-43 de 950 ch.
Performances : Vitesse maximale : 355 km/h;
Plafond pratique : 6 800 m
Autonomie de vol : 5 heures
Masse en charge : 4 548 kg
Dimensions : envergure 15,63 m; longueur 12,28 m; surface alaire : 34,64 m2
Armement : 3 mitrailleuses MAC de 7,5 mm, une torpille de 750 kg ou 600 kg de bombes.
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